Description
Original et sobre, moderne et élégant, énigmatique et séduisant, ce modèle signature ultra-technique est unique. Une exclusivité EKOÏ.
LE PREMIER MAILLOT INTELLIGENT QUI S’ADAPTE AUX CONDITIONS TEMPÉRATURES !
Équipé de la technologie Outlast®, ce maillot a la particularité de vous rafraîchir lorsqu’il fait chaud et de vous réchauffer lorsqu’il fait frais.
PORTÉS PAR LES PROS
Lors du Tour de France 2023, les coureurs de l’équipe Israel Premier-Tech ont attiré l’attention des équipes et des médias. En effet, ils étaient les seuls à affronter les températures élevées, maillot fermé.
La victoire de Michael Woods au sommet du Puy de Dôme, maillot fermé, a démontré l’intérêt de la technologie Outlast®, capable d’offrir un niveau de confort thermique inégalé, propice à la performance.
CARACTERISTIQUES
– Tissu Outlast® aux propriétés thermorégulatrices. Lorsque la peau se réchauffe, la chaleur est absorbée et lorsqu’elle se refroidit, elle est restituée.
– Tissu doux et soyeux pour une sensation agréable au contact de la peau. Effet vêtement bien-être.
– Tissu extensible : effet seconde peau, épouse les formes du corps et offre une grande liberté de mouvement.
– Devant biseauté pour un confort optimal lors du pédalage.
– Coutures plates.
– Fermeture à glissière invisible et autobloquante.
– Cache-zip en bas (anti-frottements).
– Col rond officier.
– Manches découpées au laser.
– 3 poches arrière avec élastique pour un ajustement parfait.
– 1 poche arrière zippée.
– Bande élastique avant pour le maintien (devant).
– Large bande élastique de 30 mm (dos).
Modèle signature de l’été…
Associé aux innovations Ekoï, l’artiste contemporain David Minard signe le graphisme de ce nouveau maillot, doté de la technologie thermorégulatrice Outlast®.
EKOI x DAVID MINARD
Le temps nous échappe… nous sommes déjà demain…
Inspiré par son origine spatiale, il a laissé ses signes graphiques énigmatiques prendre la forme d’une spirale. Celle-ci se révèle, de manière insolite, à l’intérieur du maillot. Suivant ses traces, il a choisi de suivre la colonne vertébrale pour y apposer deux lignes de ses mystérieux « hiéroglyphes ».
